Le soft power dans la salle de bain, par Elodie Bernadi, directrice développement durable France, L’Oréal.
Pour l’Oréal, entreprise née de et basée sur la science, il y a plus important que les engagements : il y a les résultats, lisibles et opposables. Être la plus grande entreprise et la marque la plus connue de sa catégorie dans le monde entier rend responsable et oblige. Elodie Bernardi, directrice développement durable de L’Oréal, nous explique comment la raison d’être de la marque réconcilie le temps long de la transformation et le temps court du business.
Chapitrage :
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Présentation
2:10
Contexte « parce que je le vaux bien », de la construction de la personne à la responsabilité ?
4 :18
De raison d’être à raison d’être : celle du C3D est « l’association de référence au service des transformations de modèles d’affaires respectueuse des limites planétaires et socialement responsables. » à celle de l’Oréal : comment est-ce que le sujet des limites planétaires résonne pour L’Oréal ?
5 :30
Peux-tu nous rappeler quels sont les enjeux du secteur des cosmétiques ? Globalement ? Quelle responsabilité quand on est numéro 1 ?
7 :00
Quels sont les chantiers du plan 2020 – 2030 les plus structurants ? Une approche holistique.
9:20
La Communication : quelle responsabilité quant à créer des standards « green »
et les rendre désirable ?
10 :50
Nouveaux récits : focus contrat climat pour les annonceurs
12 :50
Quid de la représentation de la femme ?
16 :45
Les impacts – Usage et sourcing, la moitié de l’impact - le scope 3, les enjeux externes à l’activité de production de L’Oréal. Les 3R et les sujets stratégiques. Sujet de la recharge.
20 :15
Focus sur la phase d’usage : trouver des produits en phase avec ses habitudes et ses valeurs
23 :50
Quid du plastique ?
L’innovation pour le packaging du futur.
25 :50
Se transformer d’abord – les clés de l’efficience côté fabrication – pour aller vers le scope 3, en travaillant en amont sur les ressources et en aval vers les usages. Explication des articulations entre les différents volets.
28 :50
Les partenaires : embarquer sur toute la ligne.
31 :50
Le sourcing – comment intégrer les enjeux sur une chaine aussi vaste que les gammes ? Le sujet de l’ « équitable » au sein du durable.
34 :10
Côté fournisseur : l’effet papillon, entre l’accompagnement de l’Oréal et l’engagement côté fournisseurs.
35 :40
L’équipe RSE / DD : coup de projecteur sur l’équipe et son fonctionnement dans
l’entreprise.
38 :20
L’Oréal, entreprise scientifique et de scientifiques, avec sa culture du KPI, et le dialogue avec L’Oréal, entreprise marketing.
41 :15
L’Oréal, Science base driven industry.
42 :00
Le cadre de la CSRD dans le cadre de l’Oréal.
43 :00
Qu’est-ce que l’innovation chez L’Oréal ? « Saisir ce qui commence », toujours d’actualité.
44 :10
Changer, c’est aussi « surprendre » face aux habitudes : compliqué une fois passé les « early adopters ». Comment soulever les freins ?
48 :00
Comment les changements peuvent-ils devenir « mainstream » ?
49 :00
Un focus sur la circularité : pas une évidence pour une marque de produits consommables. L’exemple du merchandising.
50 :40
Comment allier la standardisation liée au sujet de la recharge et identification des produits ?
51 :55
Qu’est ce qui stimule pour être n°1 en termes de durabilité ? Un enjeu de pérennité : se saisir de ce qui commence.
53 :30
La force du collectif - l’importance des consortium.
55 :15
Un point sur les modèles d’affaires : quid du serviciel et de l’expérientiel ?
59 :45
Quid des renoncements qui s’imposent au prisme de la raison d’être – l’indice spot, fourche caudine interne avant lancements.
1 :01
Le régénératif chez L’Oréal.
1 :02 :30
Comment changer le monde depuis sa chaise de bureau ? Être curieux, chercher l’impact et se tenir informé…
1 :03 :30
L’œuvre fondatrice d’Elodie ? Le Petit Prince, d’Antoine de Saint Exupéry, version audio raconté par Gérard Philippe – on est responsable de l’héritage que l’on laisse à nos enfants.
Merci Elodie !
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