Pop story : Girls Aloud (part. 1) - Sound of the underground

Aujourd’hui je vais vous raconter une histoire, que dis-je une saga comme je les adore : pop et improbables.

Celle d’un groupe qui n’aurait jamais dû survivre aux quelques mois généralement accordés à celles et ceux qui sortent victorieux d’un télé-crochet.

Le parcours d’un quintette qui a déjoué tous les pronostics grâce à un entourage qui dès l’origine va penser en dehors des schémas classiques et prendre des risques.

La légende d’une bande de jeunes filles issues de la classe moyenne anglaise qui va, grâce à un peu de chance, du flair mais surtout une somme de travail colossale marquer l’histoire de la musique britannique de son empreinte.

Un héritage de 20 singles classés consécutivement dans le top 10 des ventes au Royaume-Uni,  5 albums studio parus en 6 ans, 5 millions de disques vendus et 7 tournées dans les plus grandes salles du pays.

Au point, 22 ans après sa naissance, d’avoir rempli pas moins de 30 arenas en 2024 pour une tournée qui a vu le groupe se reformer dans des circonstances très spéciales, 11 ans après ses derniers concerts.

Ce groupe, c’est Girls Aloud, soit Nadine Coyle, Nicola Roberts, Kimberley Walsh, Sarah Harding et Cheryl Tweedy.

Si vous ne les connaissez pas, quelle chance, vous allez découvrir l’un des plus belles discographies de la pop.

Dans le cas contraire, vous savez leur valeur.

Ensemble nous allons retracer leur parcours exceptionnel mais vu le morceau, nous le ferons en deux parties. Dans cette première nous nous intéresserons à la genèse du groupe et à son premier single Sound Of The Underground, et dans la seconde, nous verrons comment elles ont construit et surtout fait durer leur carrière, contre toute attente.

Lights ? Down Low

Beats ? Pumping

Neighbours ? Banging.

Girls ? Aloud.

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