Faut-il trahir son ADN pour vendre du vin en 2025 ? : conversation avec Khadija Mezhoud, responsable marketing du Cellier des Demoiselles

Peut-on suivre les tendances sans trahir son ADN ?

Peut-on innover dans une cave coopérative centenaire, sans sombrer dans le jeunisme ni perdre son âme ?
Et surtout : comment construire une vraie stratégie de marque quand on part avec un délit de sale gueule ?

Pour cet épisode, j’ai tendu le micro à Khadija Mezoud, responsable marketing du Cellier des Demoiselles, une cave coopérative des Corbières fondée il y a… 111 ans. Mais attention : ici, pas de naphtaline dans les étiquettes. On parle d’un rouge léger qui cartonne auprès de plusieurs générations, de cocktails à base de vin, de coopérateurs mis en avant comme des égéries… et d’une vraie vision stratégique, ancrée dans le réel.

Dans cet échange, on a parlé :

-des vrais défis des caves coopératives pour sortir de l’ombre (et des a priori)

-de la difficulté de moderniser sa communication sans tomber dans le marketing cringe

-de TikTok, de storytelling coopératif, de cocktail à base de vin…

-de comment faire parler des vignerons… même ceux qui “n’aiment pas être pris en photo”

Un épisode ultra concret, qui devrait parler à tous ceux qui veulent faire bouger les lignes sans perdre le Nord (ni leur terroir).

Retrouvez Khadija Mezoud sur LinkedIn
Et le Cellier des Demoiselles sur Instagram

Si cet épisode vous plaît, pensez à le partager, l’évaluer, ou l’envoyer à un caviste/marketeur/vigneron en pleine crise existentielle.

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