Stop à l’aide toxique : comment survivre quand tu dépends des autres ☆83/100☆

Aujourd'hui, et pour conclure les 2 épisodes précédents sur le fait de "demander de l'aide", on parle des aidants.
Oui, ces personnes censées t’aider… mais qui parfois te donnent plutôt envie de t’enfuir en courant (si seulement tu pouvais courir).

Aujourd'hui, on fait un tour express — et totalement désinhibé — des 3 profils d’aidants que tu as forcément déjà croisés si tu vis avec un handicap, une maladie chronique, une limitation ou juste… une famille compliquée.

➡️ Les aidants encombrants
Ceux qui te sautent dessus parce que tu as simplement regardé une bouteille d’eau. Tu respires à côté d’un objet et ils pensent que tu veux l’épouser. Leur intention est mignonne… leur timing, beaucoup moins.

➡️ Les aidants rancuniers
Eux, c’est l’élite du “je t’ai aidé, tu me dois tout jusqu’à la fin des temps”.
Leur spécialité ? Le passif-agressif sous couverture humouristique.
Tu connais : “Hahaha t’imagines si tu devais te débrouiller toute seule ? Heureusement que je suis là hein !”
Oui, hahaha. Vraiment très drôle.

➡️ Les aidants infantilisants
Ceux qui te parlent comme si tu avais 6 ans d’âge mental.
Tu demandes un verre d’eau et ils te répondent :
“Alors on va faire un petit effort, hein, on me dit ce qu’on veut avec des mots.”

La pédagogie maternelle appliquée aux adultes. Merci, mais non merci.

Je te parle de tout ça avec légèreté, pas parce que le sujet est léger (il ne l’est pas), mais parce que… on arrive à la fin de l’année, et franchement, qui a encore de la place mentale pour plus de lourdeur ?

Et puis, ce terrain-là m'est connu. J’ai grandi dedans. Ma famille, et surtout ma maman, a été proche aidante pendant des années.

C'est de la charge, beaucoup de fatigue, de la solitude mais aussi, des bons moments.

Et je sais surtout les moments où tu aimerais juste… respirer.

Alors aujourd’hui, je t’offre un peu de recul, un peu de rire, et surtout la permission sacrée de mettre les limites que tu n’as peut-être jamais osé poser.

Parce que oui : ce n’est pas une question de chance, mais de choix.
Et tu peux choisir d’éduquer, de recadrer, de communiquer — plutôt que d’avaler tout ce qui t’est servi sous prétexte que “tu dépends des autres”.

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