Si moi j’avais été parlementaire

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Le poème « Moi, Fort du Café, député éveillé » imagine l’auteur dans la peau d’un parlementaire atypique, surnommé ironiquement « Fort du Café ». Ce personnage symbolise une voix éveillée, lucide et impertinente au cœur d’un hémicycle endormi. Armé de sa tasse et de mots brûlants, il refuse la langue de bois et dénonce avec humour l’hypocrisie politique. À travers des métaphores autour du café – tasse, grains, amertume, cafetière – il incarne une forme de révolte douce mais tenace. Il dérange les institutions figées avec ses discours sans filtre et ses vérités qui tachent la moquette du pouvoir. Si certains le huent, d’autres le suivent, séduits par son franc-parler. Le poème mêle satire politique et poésie quotidienne, transformant l’expression « c’est fort du café » en un manifeste d’éveil citoyen face à une démocratie trop tiède. C’est un hommage à la parole libre, au bon sens... et à la caféine des consciences.

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