Moi, journaliste dictateur ?
Les playlists musicales des internautes poètes invités du portails lodj.ma
Ce poème satirique se moque des idées absurdes selon lesquelles l'auteur, journaliste et écrivain, pourrait être perçu comme un dictateur. À travers des alexandrins empreints d'ironie, il tourne en dérision cette accusation en comparant la plume, son outil d'expression, à un sceptre imaginaire. Il affirme que ses mots ne construisent pas des prisons, mais des ponts, qu’il ne règne pas par la terreur, mais par la lumière des idées. Le poème met en contraste la brutalité d’un dictateur et la douceur créative d’un poète, dont le seul pouvoir réside dans l’imaginaire et la liberté de pensée. Avec élégance et humour, il réfute les jugements hâtifs en soulignant l'absurdité d'un tel rôle dans un univers où le verbe prime sur la violence. Finalement, il revendique sa mission de lumière face à l'obscurité des tyrannies.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Powered by Ausha 🚀