Quand les bobos américains déraillent - Par Gabriel BANON
Depuis quelques temps, les bobos américains, menés par celui qui fut un prestigieux quotidien, « Le New York Times », réécrivent l’Histoire et s’en prennent régulièrement à la France et aux Français. Ils demandent aux institutions françaises de prêter plus d’attention à l’histoire de l’esclavage du pays, au lieu d’honorer une icône de la suprématie blanche, Napoléon Bonaparte.
Ce quotidien, qui fut une référence en son temps, est devenu l’organe officiel de l’intolérance, sous couvert d’une doctrine progressiste de l’idéologie victimaire connue aux États-Unis sous le vocable « Woke ».
L’Histoire nous a appris que les actes du passé doivent toujours être mis dans leur contexte, pour pouvoir être jugés.
James Bennet, chef de la rubrique d’opinions et Bari Weiss, journaliste vedette, ont démissionné devant les dérives du New York Times. Nous avons là le « politiquement correct » poussé à l’extrême, accouchant de la pensée unique.
Ces Américains, auto-proclamés les justiciers du bien-pensant, sont devenus adeptes de purges par l’effacement et le bannissement. Ils jugent que Napoléon n’est pas un héros à célébrer, il est pour eux, « le plus grand des tyrans, une icône de la suprématie blanche »… !
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