Peut-on rĂŞver d'une ville sauvage ?
Depuis « Barcelona 92 », nos villes seraient devenues des produits marketing plutôt que des cadres de vie. Des quartiers entiers sont rasés, planifiés, allotis, avec un jeu savant dans lequel une poignée d’urbanistes décide d’où et comment on placera tel logement, tel activité ou telle école, et comment on s’y rendra.🚧🚸
Des architectures magnifiques s’alignent, promettant une urbanité douce et apaisée. Mais la sauce ne semble pas prendre.
Dans ces quartiers tracés au cordeau 30 ans à l’avance, comment prévoir l’imprévisible, comment permettre à la ville de rester un lieu de créativité ? Pour retrouver notre fascination pour la « cité », serions-nous amenés à rêver, finalement, d’une ville un peu plus sauvage ?
🗣️Pour en débattre :
Pour commencer, je vous propose d’écouter, non pas un micro-trottoir, mais un micro-plage🎤🏖️. Je me suis rendu sur la plage des Catalans pour interrogés les marseillais sur le développement urbain de leur ville. Malgré les mains pleine de sable et de crème solaire, ils ont su trouver des mots assez justes.
Ensuite, une carte blanche à la ville de Marseille par la voix de Léa Müller, journaliste à Chronique d’Architecture
L’Edito de David Trottin, architecte,
Puis comme chaque mois,  l’agenda Archi-culturel de Dominique Boré 📆 .
Un magazine préparée et animée par Olivier Leclercq
Enregistrée à Marseille le jeudi 16 septembre 2022
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