24 ans de règne, 24 ans de développement soutenu et de paris gagnés - Par Jamal HAJJAM
Lorsque SM le Roi Mohammed VI accédait au trône il y a 24 ans, la situation du Maroc était problématique à plus d'un égard. Les problèmes d'ordre politique, économique, social, humanitaire et culturel s'enchevêtraient et le bateau du Maroc, en panne de stratégies salutaires, navigait à vue. L'économie était en berne, le développement humain en rade, la précarité progressait à vue d'oeil, les secteurs sociaux en déperdition, le concept de l'autorité en désuétude, la bureaucratie battait son plein, la diplomatie tatonnait, le dossier du Sahara faisait dans le sur place, l'investissement public et privé était maigrichonne et les chantiers structurants se faisaient désirer...
Le Maroc essuiyait encore les retombées du douloureux et socialement coûteux Plan d'Ajustement Structurel et les gouvernements successifs, aux approches incertaines étant dépourvus de vision politique, faisaient le reste. Le défunt Roi Hassan II, en fin de règne, fut par conséquent amené à nommer un gouvernement d'alternance consensuelle pour tenter, un tant soit peu, de réanimer le pays en proie à une "crise cardiaque".
C'est dans ce contexte très difficile et complexe, exception faite de la stabilité institutionnelle, que le jeune Roi Mohammed VI accédait au pouvoir suprême et prenait instantanément le taureau par les cornes.
Les attentes étaient réelles et énormes et, sortir le pays de sa léthargie pour le placer sur les rails des réformes multisectorielles nécessaires et du développement tous azimuts, n'était manifestement pas une mince affaire, loin s'en faut.
Mais le jeune Roi, visionnaire, stratège et décidé, a très vite fait valoir une politique innovante résolument tournée vers l'avenir où la modernisation institutionnelle, le solde de tout compte du lourd passif des graves violations des Droits de l'Homme, la consécration des droits de la femme, le règlement des questions identitaires qui fâchent, l'ouverture sur le monde, la diversification des partenariats stratégiques, la réforme profonde de la Constitution, ont emboîté le pas à la mobilisation rationnelle des ressources financières, humaines et matérielles, au lancement de grands chantiers de développement, au renforcement et à la réalisation d'infrastructures modernes (ports, aéroports, autoroutes, zones industrielles), à une urbanisation planifiée qui passe par l'éradication des bidonvilles et des foyers de précarité urbaine, le tout encadré par une gouvernance efficiente qui sait classer les priorités et répugne à l'improvisation et à l'approximatif.
L'effort durant ces 24 années, titanesque, a su transcender les difficultés, vaincre les entraves conjoncturelles, faire valoir une bonne résilience face aux crises mondiales de tout ordre et déjouer les hostilités étrangères gratuites et envieuses.
C'est un Maroc nouveau qui s'est progressivement fait valoir par la perspicacité d'un homme meneur d'hommes, d'un Souverain, fort de sa légitimité et de l'amour de son peuple, qui ne se laisse nullement infléchir dans son entreprise par les imprévus, encore moins par les nuisances.
Depuis l’accession du Roi Mohammed VI au trône, le Maroc a en effet connu un développement continu, au nord comme dans les province du sud, et s’est construit à tous les niveaux, marquant une évolution dans tous les domaines, ce qui est visible à l'oeil nu.
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