Trois histoires douloureuses de Beyrouth - Par Adil BEN HAMZA
Il y a six ans, j'étais l'invité d'une table ronde à la capitale libanaise, Beyrouth, sous le thème : « Renforcer le rôle de la société civile dans la médiation, la négociation, la recherche d'un consensus et la résolution des conflits », à l'invitation du « Centre Al Quds pour les études politiques », qui est basée à Amman, la capitale jordanienne.
Des amis du centre m'ont demandé de faire une présentation à propos de l'expérience de la justice transitionnelle au Maroc sous le titre « L'expérience du Maroc… Des années de plomb à la justice transitionnelle », dans le cadre des travaux de la quatrième session, qui portait sur le rôle de la société civile et la période du rétablissement de la paix, de la réconciliation et de la construction d'un consensus national.
Je suis donc allé à Beyrouth. Toute ma préoccupation était de transmettre aux représentants des pays participants qui vivent des guerres civiles dévastatrices, l'expérience marocaine en matière de justice transitionnelle avec ses aspects positifs et négatifs. J'essayais, dans chaque intervention, de mettre ce qui se passe à la lumière des expériences d'autres peuples dans la transition démocratique et la justice transitionnelle, y compris ceux qui ont connu des guerres civiles totales.
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