Joseph Ponthus a fait des études et il va à l'usine dont il dit que c'est un "vrai boulot". Après ses journées de turbin, il réunit ses forces et décrit son corps, son coeur, les ouvriers, leur univers. ça donne "A la ligne", le texte est sans point, le travail à la chaîne sans fin
Ecrit politique ou poésie ?
L'usine est elle le siège de l'esclavage moderne ? Peut on s'en évader ?
Peut elle ĂŞtre belle ? Peut on aimer y aller ?
L'usine, nouvelle psychanalyse ou antre de la folie ?
Le capitalisme a t'il gagné ?
Autant de questions auxquelles tentent de répondre David Mallegol et Dominique, de la librairie "A la ligne" de Lorient, à la lecture de cet ouvrage.
Lorsqu'il eu fini d'écrire "A la ligne", Ponthus l'a adressé, fièrement, à la direction de l'abattoir où il travaillait, et, quinze jours plus tard, son contrat n'a pas été renouvelé...
Un nouvel Ă©pisode de FAHRENHEIT 162 sur RADIO 162 !Â
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